Sandrine Dolader

06 81 89 86 74

Enseignante en Qi Gong (Gymnastique Douce Chinoise)

Praticienne professionnelle en Médecine Traditionnelle Chinoise, Shiatsu et soins énergétiques psycho-corporels par magnetisme depuis 2003. 

Consultez aussi www.sandrinedolader.eu pour l'ensemble de mon parcours professionnel et si vous souhaitez intégrer un programme de bien-être dans votre entreprise et vos événementiels. 

 

Cabinets à Tours et à Amboise (37) et déplacement à domicile ou en entreprises. 

 

Delphine Dronne

Enseignante diplômée de l’Ecole du Centre TAO (Tours) en 2013, puis du Brevet  Fédéral de l’Union Pro Qi Gong (FEQGAE) d’Aix en Provence en 2016 ainsi que du Certificat de Qualification Professionnelle d’Animateur auprès de Sports pour Tous en 2017.

Ces diplômes lui permettent aujourd’hui d’être garante de la qualité de l’enseignement du Qi Gong dans le respect de sa pratique traditionnelle.

Elle a à cœur de poursuivre son évolution en pratiquant personnellement et en continuant d’approfondir ses connaissances.

 

Union Pro Qi Gong / FEQGAE : Fédération d’Enseignant Qi Gong Arts Energétiques

FSPT : Fédération Sports Pour Tous agréée par le Ministère des Sports

 

 

 

LE PARCOURS DE QI GONG de SANDRINE DOLADER :

Mon parcours de Qi Gong a en fait commencé avec le Tai chi.

En 1996 alors que j’avais 22 ans et que je participais à un Foreign Exchange Program à l’Université de Californie de San Francisco dans le cadre de mes études, je me suis inscrite à un cours de Tai Chi. J’avais suivi des cours de danse depuis mon enfance mais je n’avais jamais abordé la culture chinoise. Ce cours de Tai Chi eut beaucoup d’importance pour moi puisqu’il agit comme une initiation à la notion de Vacuité, concept dont je n’avais jamais entendu parler et que bien sur, sur le moment, je n’ai pas interprété en ces termes. L’enseignante était asiatique, elle enseignait à l’asiatique, c'est-à-dire qu’elle nous demandait de répéter le même mouvement encore et encore. Je trouvais cela très ennuyeux surtout pour moi qui ait toujours eu la chance d’avoir une bonne mémoire. Et pourtant je revenais au cours suivant ! C’est au 5ième cours que j’ai compris pourquoi. Alors que je répétais encore et encore un mouvement de Tai Chi, tout à coup je me dis : « Ouah, je viens de passer plusieurs minutes sans penser ». Ce fut une véritable révélation pour moi à qui on a toujours dit : « tu penses trop » !

 

En Californie, je m’initiais aussi au yoga sous différentes formes : hatha, shivananda, Iyangar.

C’est en 2001 que je commençais mes études en Zen Shiatsu avec Shinzo Fujimaki à Harbin Hot Springs. Celui-ci commençait toujours ses cours avec du Qi Gong.

 

De retour en France, je fus un peu déçue de constater que mes professeurs français de Shiatsu n’intégraient pas le Qi Gong dans leurs cours. A la place, on pratiquait le Do In et les étirements Makko Ho, ce qui est déjà bien.

 

Lors de cinq années passées à Paris, je fus amenée à pratiquer le Kung Fu. Les entrainements bi-hebdomadaires et les stages intensifs me permirent de me renforcer physiquement et de retrouver les vertus de l’apprentissage des formes : pratique de la mémorisation, plaisir de pratiquer seule dans les parcs de Paris ou sur la plage pendant les vacances, un ressenti plus développé lors de mes soins, etc.

Cependant, je me fis la remarque que le professeur ne parlait que très rarement de la respiration et jamais de la méditation. Son Kung Fu ressemblait plus à du sport qu’à un art martial comme je l’avais imaginé. J’eus la preuve que quelque chose manquait quand mon prof vint me consulter pour une séance de Shiatsu : il était en dépression. Quelques temps plus tard, il me raconta qu’il était allé voir un moine bouddhiste qui lui avait appris à méditer !

De mon coté, des difficultés physiques commencèrent à se manifester lors des cours de Kung Fu. Comme si mon cœur ne tenait pas la route… Les changements dans ma vie s’accumulant, je décidais d’arrêter.

C’est à peu près à cette période qu’un prof de yoga qui m’accueillait dans son centre à Genève pour des ateliers de Shiatsu me parla de son maitre Park Bok Nam et me proposa de traduire son livre : « les principes fondamentaux du Bagua Zhang », ce que j’acceptais. Avec du recul, je peux dire que ce fut du Qi Gong assis derrière mon ordinateur ! En effet, c’est dans ce livre que je découvris les vertus de l’art interne par rapport à l’art externe.

 

Voici une notion dont on parlait peu en Occident. On nous dit « faites du sport » mais jamais qu’il ne sert à rien de nous épuiser et qu’il vaudrait mieux se ressourcer à travers l’exercice physique et la respiration.

 

A peu près à la même période, j’eus l’honneur de faire partie du premier groupe de Français à être formés par Maitre Wataru Ohashi en Zen Shiatsu. Il nous dit qu’il avait développé le Zen Shiatsu après avoir découvert que la majorité des shiatsuki étaient épuisés après environ 3 ans de pratique. Ce qui était mon cas !

 

Ohashi développa un shiatsu permettant au donneur de se fatiguer le moins possible et si possible même de se ressourcer en même temps qu’il donne un soin. Ce fut une véritable découverte. J’aime particulièrement ce style de shiatsu car il ressemble à une méditation à deux, en mouvement. Ou à un Qi Gong à deux….

 

Cependant, je n’arrivais pas encore à méditer régulièrement et je m’en voulais. Je savais que j’avais besoin de cet art interne de ressourcement dont parlait Park Bok Nam si je voulais continuer longtemps à pratiquer mon art sans en subir les conséquences.

C’est lors d’une période difficile que je demandais conseils à un collègue plus expérimenté que moi. Il me répondit qu’il allait lui-même beaucoup mieux depuis qu’il pratiquait régulièrement le Qi Gong. Puis Philippe Aspe me parla de son école et me voila inscrite pour trois ans de formation.

 

Depuis, je médite régulièrement et j’essaie d’intégrer le Qi Gong dans chaque mouvement du quotidien. Je sens que je gagne de plus en plus en confiance dans ma capacité et mon envie de transmettre les bienfaits de la Médecine Traditionnelle Chinoise et du Qi Gong non plus en tant que praticienne mais aussi en tant qu’enseignante. 

Histoire du projet

Dans cette partie, vous pouvez décrire l'histoire du projet et donner les raisons de sa création. Il est convenable d'y mentionner les principales étapes du projet et d'y honorer les personnes y ayant contribuées.